Thursday 31 October 2013

1er novembre - LA FÊTE DE TOUS LES SAINTS -rappel-



NOVEMBRE Consacré aux âmes du purgatoire.

« les âmes des fidèles défunts sont soulagées  dans la Purgatoire par les prières et les aumônes des survivants ' Saint Augustin d'après 'calendrier perpétuel des saints Anges' D.F.T.
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-rappel de l'article du 1-11-2012-

1er novembre – FÊTE DE TOUS LES SAINTS.
            On rapporte au pape Boniface IV, qui vivait au commencement du septième siècle, la première origine de la fête de tous les Saints.
            Voici quelle en fut l’occasion : il y avait à Rome, un temple appelé le Panthéon, bâti par Auguste quelques années avant la naissance de Jésus-Christ. Cet édifice était regardé comme un chef-d’œuvre d’architecture, et son auteur l’avait rendu comme le centre de l’idolâtrie, en le consacrant à tous les dieux.
            Les empereurs romains, étant devenus chrétiens, portèrent des lois contre le culte des idoles et firent abattre leurs temples.
            On en épargna pourtant quelques uns, à cause de leur magnificence ; mais ils furent fermés : le Panthéon fut du nombre.
            On ne les regarda pendant longtemps que comme des monuments propres à orner les villes où ils étaient.
            Lorsque la religion chrétienne fut bien affermie, et que l’Église crut n’avoir plus rien à craindre de l’idolâtrie, elle ne fit point de difficulté d’ouvrir ces temples pour les purifier et les faire servir au culte du vrai DIEU.
            En 607, Boniface IV bénit le Panthéon, et le consacra à DIEU sous l’invocation de la sainte Vierge et de tous les martyrs.
            On ne peut pas dire que ce fût encore la fête de tous les Saints, puisqu’elle n’avait pour objet que la sainte Vierge et tous les Martyrs.
            Ce ne fut qu’en 837 que le pape Grégoire IV lui donna toute l’étendue qu’elle a aujourd’hui, en dédiant une chapelle, dans l’église de Saint-Pierre de Rome, en l’honneur de tous les Saints.
            Cette fête, bientôt après, passa en Allemagne. Louis le Débonnaire, à la prière du Pape et du consentement des évêques, en ordonna la célébration dans tous ses états, et la fixa au premier novembre.
            L’objet principal de cette fête est Jésus-Christ, le chef et le modèle de tous les Saints.
            Comme leur justice et leur sainteté ne sont qu’une émanation de la justice et de la sainteté souveraines, c’est à lui que se rapporte le culte que nous rendons à ceux qu’il a bien voulu sanctifier.
            La foi nous apprend qu’ils n’ont rien mérité pour eux qu’en vertu des mérites de Jésus-Christ ; et nous faisons profession de croire qu’ils ne peuvent rien pour nous que par Jésus-Christ ; mais nous savons que par lui ils sont très-puissants ; ayons donc recours à leur intercession et à leurs prières.
            L’Église a honoré les Saints dans tous les temps ; mais toujours elle a prétendu honorer Jésus-Christ même dans le culte qu’elle leur a rendu.
            On invoque les Saints, c’est-à-dire que les fidèles les prient d’être leurs intercesseurs auprès de DIEU.
            Se croyant indignes d’être écoutés dans leurs prières, les hommes ont recours à ceux dont ils savent combien le crédit est grand auprès du Seigneur.
            On honore les reliques des Saints, parce qu’on considère leurs corps comme ayant été les victimes de DIEU par le martyre ou par la pénitence.
            C’est dans le même esprit qu’on rend honneur à leurs images ; les fidèles ne croient pas qu’elles aient aucune vertu qui doive les faire révérer ; ils les regardent seulement  comme très-propres à faire penser plus souvent à ceux qu’elles représentent.
            C’est dans ce même esprit  que l’on visite leurs tombeaux et les lieux consacrés à DIEU sous leur nom.
            Le dessein de l’Église, en célébrant les fêtes des Saints, en honorant leurs reliques et leurs images, a toujours été d’honorer DIEU en eux, de les proposer aux chrétiens pour modèles, et de les porter à les imiter en leur faisant voir la grande récompense qui les attend, s’ils ont le bonheur de les suivre.
            En vain allèguerions-nous les obstacles que nous avons à surmonter ; les Saints se trouvaient dans les mêmes circonstances, et peut-être dans des circonstances plus délicates.
            Ils étaient pétris du même limon que nous : mais connaissant leur faiblesse mieux que nous ne connaissons la nôtre, ils évitaient tout ce qui était capable d’allumer le feu de leurs passions, ils fuyaient les occasions du péché ; ils s’établissaient de plus en plus dans la pratique de l’humilité ; ils puisaient sans cesse de nouvelles forces dans la fréquentation des Sacrements et dans l’exercice de la prière.
            C’était par la réunion de ces différents moyens qu’ils triomphaient d’eux-mêmes et des ennemis du dehors.
            Il ne tient qu’à nous de faire usage des mêmes secours.
            Le sang de Jésus-Christ fut versé pour nous comme pour eux.
            La grâce du Sauveur ne nous manque pas ; c’est nous qui lui manquons.
            Si les difficultés nous arrêtent, si les tentations nous effraient, si les ennemis se présentent sur la route, ne perdons point courage ; au contraire, redoublons d’ardeur, en nous écriant avec Josué :
Le Seigneur est avec nous, que pourrions-nous craindre ?
            Si le monde nous poursuit, souvenons-nous que les Saints l’ont combattu, et sont sortis victorieux de toutes ses attaques.
            Si nos passions sont violentes, Jésus-Christ nous a fourni des armes pour les soumettre.
            Si nous étions moins lâches, nous trouverions que les difficultés que nous alléguons ne sont qu’imaginaires ; nous ne redouterions plus les voies laborieuses de la pénitence, nous ne balancerions plus de faire ce que firent tant de Saints de l’un et l’autre sexe, des vierges délicates, des jeunes gens d’une faible complexion et élevés dans la mollesse, des princes, des rois ; nous nous écrierions souvent avec saint Augustin :
            « Pourquoi ne ferai-je pas ce que tels et telles ont eu la générosité de faire ? »
            Ces exemples sont bien propres à nous encourager, et à faire taire tous les prétextes.
            Il n’y a qu’un DIEU, qu’un Sauveur, qu’un Évangile, qu’un paradis.
            Il n’y a qu’une loi ; elle est invariable.
            C’est une erreur bien dangereuse que de s’imaginer que les chrétiens qui vivent dans le monde ne sont point tenus de tendre à la perfection, ou qu’ils peuvent se sauver en suivant une autre route que les saints.
PRATIQUES. — 1. Nous ne pouvons être sauvés que par Jésus-Christ. Adressons-nous donc à lui avec confiance, puisqu’il nous a promis que tout ce que nous demanderons en son nom nous sera accordé.
2. Les Saints ne peuvent que solliciter pour nous les grâces dont nous avons besoin. Ayons donc recours à leur intercession, afin qu’ils prient pour nous.
3. Le principal culte que nous devons rendre aux Saints, c’est d’imiter leurs vertus. Que cette fête nous y anime.
PRIÈRE. — C’est vous, Seigneur, qui faites les saints ; accordez-nous la grâce de les imiter, en nous donnant l’amour de votre sainte pauvreté, de la pénitence, et un désir sincère de pratiquer votre saint Évangile.
A.I.

vendredi 1 novembre ORDO LITURGIQUE TOUSSAINT -FÊTE D'OBLIGATION-

NOVEMBRE Consacré aux âmes du purgatoire.

« les âmes des fidèles défunts sont soulagées  dans la Purgatoire par les prières et les aumônes des survivants ' Saint Augustin d'après 'calendrier perpétuel des saints Anges' D.F.T.
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ORDO LITURGIQUE
( Cet Ordo se base sur le Code des Rubriques promulgué le 25 juillet 1960. )
Année :  2013.
Mois : novembre
Semaine entre le Vingt-troisième Dimanche après la Pentecôte, Fête du Christ-Roi,
et le Vingt-quatrième Dimanche après la Pentecôte ( quatrième après l’Épiphanie.
Jour: vendredi 1 novembre 2013.
Fête:  de tous les Saints.
Couleur: blanc.
Classe: 1ère classe.
Épître:  Ap VII 2-12.
Évangile: Mt V 1-12.
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Le Calendrier du Sanctoral  du  M.Q.E.V. imprimatur 1961 indique p. 43 au 1 novembre: FÊTE DE LA TOUSSAINT, fête de 1e classe.. p 1903.

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Le M.R.C.E.R. imprimatur 1943 indique au 01 du 'CALENDRIER LITURGIQUE - NOVEMBRE
d | 1 | La Toussaint, d, 1e cl. avec Oct. comm.
d, 1e cl.=  double de 1ère classe.
Oct. comm. = Octave commune.

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FÊTE MOBILE


Premier Dimanche de l’Avent: au plus tôt le 27 novembre, au plus tard le 3 décembre.

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Toussaint, 1er novembre, fête de tous les Saints du Ciel: Fête d’obligation.
Le second commandement de l’Église me demande d’assister à la Messe les dimanches et les fêtes d’obligation, sous peine de péché mortel.
En France, il y a 4 fêtes d’obligation. Noël le 25 décembre, fête de la naissance de notre Sauveur ; L’Ascension de Notre-Seigneur, 40 jours après Pâques, jour où Jésus monte au Ciel par sa propre puissance ; l’Assomption de la Très Sainte Vierge Marie ( élevée au Ciel avec son corps et son âme par la puissance de DIEU) le 15 août; et la Toussaint le 1ER Novembre, fête de tous les Saints du Ciel.  Il y a obligation de recevoir Jésus-Hostie à Pâques en état de grâce, et de se confesser au moins une fois par an de façon complète et sincère.
3ème commandement de DIEU :
Les dimanches tu garderas
En servant DIEU dévotement.
Le troisième commandement de DIEU nous ordonne de sanctifier le jour du Seigneur, c’est-à-dire le dimanche.
Pour sanctifier le dimanche il faut s’abstenir de tout travail servile et assister à la Sainte Messe. On doit également profiter du Dimanche pour s’instruire de la Religion.
1er commandement de l’Église :
Les fêtes tu sanctifieras
Qui te sont de commandement.
2ème commandement de l’Église :
Les dimanches, messe ouïras
Et les fêtes pareillement
3ème commandement de l’Église :
Tous tes péchés confesseras
A tout le moins une fois l’an.
4ème commandement de l’Église :
Ton Créateur tu recevras
Au moins à Pâques, humblement.
5ème commandement de l’Église :
Quatre-Temps, Vigiles jeûneras
Et le Carême entièrement.
6ème commandement de l’Église :
Vendredi, chair ne mangeras
Ni jours défendus mêmement.
7ème commandement de l’Église :
 Écrits défendus ne liras
Ruinant Foi, ou Mœurs sûrement.
8ème commandement de l’Église :
Payer les dîmes dues à l’Église, selon les usages. 

Il arrive que des livres ne mentionnent pas ce commandement, cependant ‘l’ouvrier mérite son salaire’. La Bible dit même de donner ‘double salaire’ à qui s’acquitte bien de son ministère ET ‘DE LA MESURE DONT VOUS MESUREZ IL SERA MESURÉ POUR VOUS’
Donc il faut aussi payer les dîmes dues à l’Église, selon les usages : c’est ce que le Catéchisme de Saint Pie X, qui  classe cette obligation au quatrième précepte de l’église, nous dit.
Comment observe-t-on le quatrième précepte de l’Église : Payer les dîmes dues à l’Église ?
Le quatrième précepte : Payer les dîmes dues à l’Église, s’observe en payant les offrandes ou prestations qui ont été établies pour reconnaître le souverain domaine de DIEU sur toutes choses, et pour pourvoir à l’honnête subsistance de ses ministres.
Comment doit-on payer les dîmes ?
On doit payer les dîmes sur les choses et de la manière que comporte l’habitude des lieux.
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Ne pas obéir à un commandement de l’Église par sa faute c’est commettre un péché mortel, ou dit autrement un péché qui vous donne la mort éternelle dans l’enfer. Frères et sœurs, prenez votre salut au sérieux.
Par exemple, le septième commandement de DIEU NOUS DÉFEND DE PRENDRE ET DE RETENIR LE BIEN D’AUTRUI. Si l’on est tombé dans ce péché très grave, il faut non seulement s’en confesser mais avoir la ferme décision de cesser de  faire ce péché, restituer ce que l’on a pris et compenser le dommage occasionné.  
Enfin :
9ème commandement de l’Église :
Ne pas célébrer de mariages en temps prohibé, c’est à dire du premier dimanche de l’Avent à l’Épiphanie et du premier jour de Carême à l’octave de Pâques.
Le catéchisme de saint Pie X classe ce commandement au précepte numéro 5. Certains livres d’enseignement omettent –à tort je pense-ce commandement.


Catéchisme de saint Pie X : IIe PARTIE, CHAPITRE IV Les préceptes de l’Église § 6 LE CINQUIÈME PRÉCEPTE DE L’ÉGLISE 8 Saint Pie X ) -9ème commandement ici.
Que nous défend l’Église par le cinquième précepte : Ne pas célébrer de mariage en temps prohibé ?
Par le cinquième précepte, l’Église ne défend pas la célébration du sacrement du Mariage, mais seulement la solennité des mariages, du premier dimanche de l’Avent à l’Épiphanie et du premier jour de Carême à l’octave de Pâques.
En quoi consiste cette solennité des mariages ?
La solennité des mariages prohibés  par ce précepte consiste dans la Messe propre pour les époux, dans la bénédiction nuptiale, et dans la pompe extraordinaire des mariages.
Pourquoi les mariages solennels ne conviennent-ils pas pendant l’Avent et le Carême ?

Les mariages solennels ne conviennent pas pendant l’Avent et le Carême, parce que ce sont des temps spécialement consacrés à la pénitence et à la prière.


1 novembre saint Ange du jour - LES ÂMES DU PURGATOIRE... rappel

 1 novembre - PRIÈRE AU SAINT ANGE DU JOUR.


       « Saint Ange du jour, Saint THIRIEL, II ( Chérubin ), Lumière de l'Amour Divin,


donnez- nous toutes les grâces que nous pouvons implorer pour nous, pour l’Église et les hommes.


Mais demandez aussi aux autres anges qu’ils implorent eux-aussi des grâces particulières pour nous en ce jour qui est celui de votre fête.


Par Jésus-Christ, notre Seigneur.





Ainsi soit-il »

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NOVEMBRE Consacré aux âmes du purgatoire.
« les âmes des fidèles défunts sont soulagées  dans la Purgatoire par les prières et les aumônes des survivants ' Saint Augustin d'après 'calendrier perpétuel des saints Anges' D.F.T.
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PURGATOIRE

« Toutes les souffrances du monde entier, accumulées, depuis la création jusqu'au dernier jour, ne sont rien en comparaison du purgatoire le plus bénin. » K. à  Mechtilde Thaller von Schönwerth.

p. 77, LES ANGES, C.F.v.L., EDITIONS CHRISTIANA,  STEIN AM RHEIN. -rappel 23-03-2013-

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RAPPEL DE L'ARTICLE DU 24-07-2011-


Les âmes du Purgatoire …

La Messe ( I ).
« Le secours le plus précieux que nous puissions donner aux âmes (du purgatoire), est sans aucun doute la messe, mais dans la mesure où les défunts en ont eu l’estime de leur vivant.
Là aussi, on récoltera ce qu’on aura semé. Du reste il n’y a pas seulement les messes des jours d’obligation –dimanches et fêtes- qui comptent, mais aussi celles des jours de semaine. Bien sûr chacun ne peut pas assister à la messe les jours d’œuvres …
Mais il y a des gens qui pourraient y aller sans manquer à aucun devoir: les retraités par exemple, qui sont en bonne santé, solides sur leurs jambes, qui habitent près de l’église mais se disent: « Le dimanche, j’y suis obligé, mais pas pendant la semaine, donc, je n’y vais pas ».
Ceux qui pensent et agissent ainsi doivent attendre longtemps après leur mort, pour qu’une messe leur profite, parce qu’ils en ont fait peu de cas pendant leur vie.
Quand nous sommes empêchés, envoyons-y, le plus souvent possible, les enfants en âge de scolarité. En bien des endroits, il n’y a plus d’enfants aux messes des jours d’œuvres. 

Si l’on savait quel est le prix d’une seule messe pour l’éternité, les églises seraient pleines, même les jours de semaine. 

À l’heure de la mort, les messes auxquelles nous avons assisté avec piété durant notre vie, sont notre plus grand trésor; elles ont pour nous plus de valeur que les messes qui sont célébrées pour nous après notre mort.

Parents et éducateurs se plaignent que les enfants sont, de nos jours, si insolents et si désobéissants. 

Ce n’est pas là un effet de hasard: autrefois, les enfants assistaient chaque jour à la messe des écoliers; la prière et la communion leur donnaient la force d’être obéissants et fidèles à leur devoir.

Aucun père, aucune mère, ni aucun catéchiste ne peut mettre dans le cœur de l’enfant ce que Notre-Seigneur Lui-même lui donne en fait de grâces durant la messe et par la Sainte Communion.»

Lumignons.
« On m’a demandé si le fait d’allumer des cierges et des lumignons avait un sens et une valeur. Bien sûr, surtout quand ils sont bénits. Et même s’ils ne le sont pas, il faut penser que l’on achète ces cierges et ces lumignons par amour pour les défunts et que tout acte d’amour est d’un grand prix. »

L’eau bénite.
« L’eau bénite est précieuse, elle aussi, quand on l’emploie avec foi et confiance. Mais il est égal qu’on en asperge le sol à pleine main ou qu’on n’en répande qu’une goutte: mieux vaut souvent une seule goutte accompagnée d’une oraison jaculatoire pour les pauvres âmes. Il est très regrettable que, dans beaucoup de maisons, on ne trouve plus aucun bénitier; on n’a ainsi aucune occasion de donner l’eau bénite aux âmes du purgatoire.»

Origine : Les âmes du purgatoire …


(I) Quand nous parlons de Messe, nous entendons la Messe de Saint Pie V avec nomination de Paul VI toujours vivant dans la prière In primis.

31 octobre LE BIENHEUREUX Alphonse RODRIGUEZ, FRÈRE COADJUTEUR DE LA COMPAGNIE DE JÉSUS ( XVIIe SIÈCLE ).

31 octobre
LE BIENHEUREUX Alphonse RODRIGUEZ, FRÈRE COADJUTEUR DE LA COMPAGNIE DE JÉSUS ( XVIIe SIÈCLE ).
Le bienheureux Alphonse Rodriguez naquit en Espagne, à Ségovie, le 25 juillet 1531. Son père Diégo Rodriguez et sa mère Marie Gomez, honnêtes marchands et fervents chrétiens, mirent tous leurs soins à bien élever leur nombreuse famille, et à lui enseigner la crainte de DIEU et la dévotion à Marie. Dès l’âge le plus tendre le jeune Alphonse conçut un vif amour pour la Très-Sainte-Vierge; il aimait à tenir entre ses mains et à baiser ses images, et lui parlait avec une confiance filiale.
Alphonse fut envoyé à Alcala pour y étudier, mais il n’y resta pas longtemps. Son père étant mort, sa mère le rappela pour l’aider au milieu des embarras de son veuvage, le maria ensuite avec une personne vertueuse nommée Marie Suarez, et il continua le commerce de son père. Mais DIEU, qui avait de grands desseins sur Alphonse et qui voulait le détacher du monde, permit que sa fortune fût renversée; bientôt la mort lui enleva sa jeune fille qu’il aimait tendrement; sa femme succomba peu après.
Pendant plusieurs années, Alphonse s’appliqua avec ardeur à la pratique des vertus chrétiennes, et à l’exercice de la plus rigoureuse pénitence. Toute sa consolation après les pertes douloureuses qu’il avait faites, était son jeune fils âgé de trois ans seulement, qui donnait les plus belles espérances. Considérant un jour la beauté de cette âme pure, Alphonse vint à songer quel affreux malheur ce serait pour ce cher enfant, s’il venait à perdre un jour la grâce par le péché mortel; il pria DIEU alors de le lui enlever, s’il prévoyait qu’un jour il dût violer sa sainte loi par une faute grave.
Son désir fut exaucé; DIEU agréa l’holocauste, et un mois après, le fidèle serviteur assistait aux funérailles de son fils.
Tous les liens qui retenaient Alphonse dans le monde étant brisés, il résolut de se consacrer à DIEU, dans la Compagnie de Jésus; après bien des épreuves, il fut agréé comme frère coadjuteur temporel, c’est-à-dire chargé d’un emploi domestique, et le 21 janvier 1571 il entra au collège de Valence, où il devait faire son noviciat. Il ne tarda pas à s’y montrer le modèle de ses frères par la pratique exacte de toutes les vertus de son état. On admirait son humilité profonde, sa patience à toute épreuve, son recueillement continuel, son mépris de lui-même et surtout son exacte obéissance. Au bout de six mois, il fut envoyé au collège de Majorque, dans l’île de ce nom. Il fit ses premiers vœux le 5 avril 1573, et l’année 1585, il prononça les vœux solennels qui l’attachaient irrévocablement à la religion.
Le bienheureux Alphonse fut chargé de l’office de portier dans le collège, et pendant trente ans, il s’appliqua à le remplir avec toute la perfection possible. Il se figurait que ce n’était pas à des hommes qu’il allait ouvrir la porte mais à DIEU; de là son activité, sa douceur, sa modestie et les courtes mais saintes exhortations qu’il trouvait moyen de faire aux personnes qui venaient au collège. Ses occupations lui laissaient-elles un moment libre, aussitôt il le consacrait à l’oraison, et allait le passer devant le Saint-Sacrement, où il paraissait se consumer d’amour. Ce fut dans ces visites à Jésus-Christ qu’Alphonse reçut des faveurs et des grâces abondantes. C’est là qu’il puisait la force de résister aux tentations et aux démons; là qu’il vit un jour Notre-Seigneur lui apparaître et lui donner une leçon de modestie.
Que dire de la dévotion du bienheureux envers la très-sainte Vierge ? Il la nommait sa mère, avait composé en son honneur plusieurs prières touchantes, tenait continuellement entre ses mains son rosaire, et l’on vit après sa mort le pouce et l’index de la main droite du saint frère couverts d’un calus produit par le frottement continuel des grains de cette couronne. Il soutenait avec feu l’Immaculée–Conception, et copiait l’office et engageait vivement les jeunes gens à le réciter, pour obtenir la chasteté. Il jeûnait rigoureusement le samedi, et se préparait à toutes les fêtes de la Mère de DIEU par des mortifications extraordinaires.
C’est par cet amour envers Jésus et Marie, par l’oraison, la pauvreté et l’obéissance que le bienheureux parvint à la perfection. Il fut favorisé d’extases, de ravissements; obtint le don des miracles, et fit des prophéties, dont l’événement marqua la vérité.
Les dernières années de sa vie ne furent pour Alphonse qu’une chaîne d’infirmités et de souffrances, qu’il supporta avec courage et patience. Pendant le mois d’octobre, la maladie fit de grands progrès, et bientôt tout espoir fut perdu. Alphonse reçut les sacrements avec la foi la plus vive, et expira en prononçant le nom adorable de Jésus, le 31 octobre 1617, âgé de quatre-vingt six ans. Léon XII l’a béatifié le 12 juin 1825, ( Vie du Bienheureux Alphonse Rodriguez  ).
PRATIQUES. ― Aimer la vie cachée, la prière et l’obéissance. Avoir une grande dévotion à la Sainte-Vierge; la demander à DIEU par l’intercession du bienheureux.
 PRIÈRE. ― O DIEU ! la force et l’exaltation des humbles, qui avez rendu votre serviteur Alphonse illustre par l’exercice continuel de la mortification et la grâce d’une prodigieuse humilité, faites qu’à son exemple, mortifiant notre chair et marchant avec confiance sous l’humble étendard de votre Fils, nous arrivions à la gloire éternelle. Ainsi soit-il.

A.I.

jeudi 31 octobre 2013 ORDO LITURGIQUE de la férie

ORDO LITURGIQUE
( Cet Ordo se base sur le Code des Rubriques promulgué le 25 juillet 1960. )
Année :  2013.
Mois : octobre
Semaine entre le Vingt-troisième Dimanche après la Pentecôte, Fête du Christ-Roi,
et le Vingt-quatrième Dimanche après la Pentecôte ( quatrième après l’Épiphanie.
Jour: jeudi 31 octobre 2013.
Fête:  de la férie.
Couleur: vert.
Classe: 4ème classe.
Épître:  Ph III 17-21 | Ph IV 1-3.
Évangile: Mt IX 18-26.
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Le Calendrier du Sanctoral  du  M.Q.E.V. imprimatur 1961 indique du 29 au 31 octobre: Férie
Le sigle • indique qu’on peut dire toute messe des mystères divins ou des saints, nommés au calendrier ou au martyrologe, toute messe votive et ( sauf le Samedi et de Noël au 13 janvier ) toute Messe de Requiem quotidienne de 4ème classe.
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Voir aussi M.R.C.E.R. imprimatur 1943 au 22-10-2013. 'CALENDRIER LITURGIQUE - OCTOBRE - . Réponse Ces Armoiries sont de quel Pape ?’
A| 29
b | 30
c | 31 Vigile de la Toussaint.

FÊTE MOBILE
Dernier Dimanche d’Octobre : Fête de Notre Seigneur Jésus-Christ Roi, d. 1e cl.



31 octobre saint Ange du jour

  31 octobre – PRIÈRE AU SAINT ANGE DU JOUR.


       « Saint Ange du jour, Saint GEDULAH, IV ( Domination ), Ange de l'appel et de la réponse de l'amour,


donnez- nous toutes les grâces que nous pouvons implorer pour nous, pour l’Église et les hommes.


Mais demandez aussi aux autres anges qu’ils implorent eux-aussi des grâces particulières pour nous en ce jour qui est celui de votre fête.


Par Jésus-Christ, notre Seigneur.





Ainsi soit-il »

30 octobre SAINT MARCEL, CENTURION, ET SAINT CASSIEN, MARTYRS ( IIIe SIÈCLE ).

30 octobre
SAINT MARCEL, CENTURION,  ET
SAINT CASSIEN, MARTYRS ( IIIe SIÈCLE ).
On célébra l’an 298, la naissance de l’empereur Maximien-Hercule, avec une pompe extraordinaire. Les sacrifices aux dieux de l’empire, firent une partie considérable de la fête. Marcel, centurion de la légion Trajane, alors en quartier dans la Mauritanie, eut horreur de ces superstitions impies; et pour n’y point participer, il quitta son baudrier
 [ baudrier :  bande de cuir ou d’étoffe portée en écharpe et qui soutient une arme, un tambour, un ceinturon. (  Larousse ) ]
à la tête de sa compagnie, et déclara à haute voix qu’il était soldat de Jésus-Christ, le roi éternel. Il jeta aussi ses armes, et la médaille de plomb, sur laquelle était gravée une vigne, et qui était la marque de son grade. On en instruisit Anastase Fortunat, préfet de la légion, qui fit emprisonner Marcel.
Après la fête, Anastase Fortunat, fit comparaître devant lui, le généreux centurion, pour lui demander l’explication de la conduite qu’il avait tenue. Le martyr lui répondit : « J’ai déjà déclaré que j’étais chrétien, et que je ne servirai jamais que Jésus-Christ, le Fils de DIEU. » Fortunat lui dit qu’il ne pouvait dissimuler cette témérité, et qu’il allait en avertir l’empereur et le césar Constance.
On envoya cependant Marcel sous bonne garde à Tanger, en Afrique, à Aurélien Agricolanus, vicaire du Préfet du prétoire.
[ vicaire : du latin ‘vicarius’ remplaçant.
préfet : ANTIQ. ROM. Haut fonctionnaire exerçant une charge dans l’armée ou dans l’administration.
prétoire :  ANTIQ. ROM. Emplacement du camp où se trouvait la tente du général.
ANTIQ. ROM. Palais du gouverneur, dans les provinces. ( Larousse ).]
Ce dernier lui demanda s’il avait fait ce qui était porté dans la lettre du juge. Marcel ayant tout avoué, fut condamné à mort, comme coupable de désertion et d’impiété, c’est-à-dire d’attachement au christianisme.
Il fut décapité le 30 octobre. Ses reliques furent transférées à Léon en Espagne, et elles se gardent dans la principale église de cette ville dont le saint est patron titulaire.
Cassien était greffier du tribunal, il refusa d’écrire la sentence prononcée contre le bienheureux Marcel, et jeta même par terre ses tablettes et ses registres. Agricolanus se levant de son siège avec fureur, lui demanda pourquoi il agissait de la sorte. « C’est, répondit Cassien, que la sentence que vous avez dictée est injuste. » On le mit en prison, et comme dans un second interrogatoire il confessa avec courage Jésus-Christ, il reçut aussi la couronne du maryre et fut décapité le 3 des Nones de décembre.
[ nones. ANTIQ. ROM. Septième jour de mars, mai, juillet et octobre, cinquième jour des autres mois  ( Larousse ).]   
PRATIQUES. ― Chrétiens, nous sommes soldats de Jésus-Christ. Le servons-nous comme notre unique maître et notre seul roi ? Renonçons au monde et à ses plaisirs, à Satan et à ses pompes.
PRIÈRE. ― Vous l’avex dit, ô Jésus, il est impossible de vous servir et de servir en même temps le monde. Ne permettez pas que nous soyons jamais assez malheureux pour renoncer à votre service ; rendez-nous, au contraire, vos fervents adorateurs et fidèles sujets.

A.I.

mercredi 30 octobre 2013 ORDO LITURGIQUE de la férie

ORDO LITURGIQUE
( Cet Ordo se base sur le Code des Rubriques promulgué le 25 juillet 1960. )
Année :  2013.
Mois : octobre
Semaine entre le Vingt-troisième Dimanche après la Pentecôte, Fête du Christ-Roi,
et le Vingt-quatrième Dimanche après la Pentecôte ( quatrième après l’Épiphanie.
Jour: mercredi 30 octobre 2013.
Fête:  de la férie.
Couleur: vert.
Classe: 4ème classe.
Épître:  Ph III 17-21 | Ph IV 1-3.
Évangile: Mt IX 18-26.
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Le Calendrier du Sanctoral  du  M.Q.E.V. imprimatur 1961 indique du 29 au 31 octobre: Férie
Le sigle • indique qu’on peut dire toute messe des mystères divins ou des saints, nommés au calendrier ou au martyrologe, toute messe votive et ( sauf le Samedi et de Noël au 13 janvier ) toute Messe de Requiem quotidienne de 4ème classe.
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Voir aussi M.R.C.E.R. imprimatur 1943 au 22-10-2013. 'CALENDRIER LITURGIQUE - OCTOBRE - . Réponse Ces Armoiries sont de quel Pape ?’
A| 29
b | 30
c | 31 Vigile de la Toussaint.

FÊTE MOBILE
Dernier Dimanche d’Octobre : Fête de Notre Seigneur Jésus-Christ Roi, d. 1e cl.


30 octobre saint Ange du jour

  30 octobre – PRIÈRE AU SAINT ANGE DU JOUR.


       « Saint Ange du jour, Saint RIDANAEL, IX ( Ange ), Il porte la joie dans le service de DIEU,


donnez- nous toutes les grâces que nous pouvons implorer pour nous, pour l’Église et les hommes.


Mais demandez aussi aux autres anges qu’ils implorent eux-aussi des grâces particulières pour nous en ce jour qui est celui de votre fête.


Par Jésus-Christ, notre Seigneur.



Ainsi soit-il »

II Épitre aux Thessaloniciens, chap. 2.

             II Épitre aux Thessaloniciens, chap. 2.


1 En ce qui concerne l'avènement de notre Seigneur Jésus-Christ et notre réunion avec lui, frères, nous vous en prions,
2 ne vous laissez pas facilement troubler l’esprit ni alarmer par une prétendue révélation, par une parole ou une lettre venant soi-disant de moi, comme si le jour du Seigneur était imminent.
3 Que personne, en aucune façon, ne vous égare.  Car, auparavant, il faut que vienne l’apostasie, il faut que se manifeste l'homme d’iniquité, le fils de la perdition,
4 l'adversaire, celui qui s'élève contre tout ce qui porte le nom de Dieu ou qu’on adore, jusqu'à prendre place dans le temple de DIEU, et se faire passer lui-même pour DIEU.
5 Ne vous rappelez-vous pas que je vous le disais,  lorsque j'étais encore chez vous?
6 Et maintenant vous savez bien ce qui lui fait obstacle, en sorte qu’il ne se manifestera qu’en son temps.
7 Car déjà le mystère de l'iniquité fait son œuvre, n’attendant que la disparition de celui qui le contraint encore.
8 Alors se manifestera l'impie, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche, et qu’il anéantira par l'éclat de son apparition.
9 La manifestation de cet impie sera accompagnée, grâce à la puissance de Satan, de toutes sortes de miracles, de signes, de prodiges trompeurs.
10 Il usera de toutes les séductions du mal pour ceux qui se perdent, faute d’avoir ouvert leur cœur à l'amour de la vérité qui les aurait sauvés.
11 C'est pour cela que Dieu leur envoie une faculté d’illusion qui les fera croire au mensonge.
12 Et ainsi seront soumis à son verdict de condamnation tous ceux qui auront refusé de croire à la vérité, pour se complaire dans le mal.
13 Quant à nous, frères bien-aimés du Seigneur, nous avons à rendre à Dieu de continuelles actions de grâces à votre sujet, car Dieu, dès le début, vous a choisis pour vous donner le salut, par la sanctification de l'Esprit et par la foi en la vérité.
14 C'est à cela aussi qu’il vous a appelés par l’annonce  de notre Evangile, afin de vous faire posséder la gloire de notre Seigneur Jésus-Christ.
15 Ainsi donc, frères, demeurez fermes; retenez les enseignements que vous avez reçus de nous, soit oralement, soit par écrit.
16 Que notre Seigneur Jésus-Christ lui-même, et Dieu notre Père, qui nous a aimés, et nous a donné, par sa grâce, un réconfort éternel et une bonne espérance, encouragent vos cœurs et vous affermissent en toute bonne œuvre et en toute bonne parole!

Tuesday 29 October 2013

29 octobre – SAINTE ERMELINDE, VIERGE ( VIe SIÈCLE ).

29 octobre – SAINTE ERMELINDE, VIERGE ( VIe SIÈCLE ).
           
            Ermelinde, née près de Louvain en Brabant, vers le milieu du VIe siècle, sortait d’une famille qui tenait un rang considérable dans la France septentrionale.
            Elle montra dès l’enfance un grand amour pour les exercices de piété, et elle n’avait encore que douze ans lorsqu’elle forma la résolution de se consacrer  à DIEU et de garder sa virginité.
            Ses parents, après avoir tenté  inutilement de la retenir dans le monde, lui laissèrent une entière liberté de suivre son attrait.
            Pour s’affranchir de toutes distractions, elle vendit ses biens, en distribua le prix aux pauvres, et alla dans une bourgade éloignée nommée Bérec, arriva pauvre et inconnue.
            Elle y vécut dans la prière et le jeûne, uniquement occupée de plaire à son divin Époux.
            Elle ne quittait sa retraite que pour aller à l’église.
            Ayant appris que deux jeunes seigneurs du pays tendaient des pièges à sa vertu, elle abandonna Bérec et se rendit à Meldrich, appelé depuis Meldaërt, en Brabant.
            Elle s’y fixa pour le reste de ses jours, et y retraça par ses austérités, ses veilles et son oraison, la vie des anciens solitaires.
            Elle mourut le 29 octobre, sur la fin du VIe siècle. Son culte a toujours été célèbre à Meldaërt.

PRATIQUES. — Humilions-nous de notre vie peu mortifiée ; et, si nous n’avons pas le courage de vivre dans la pénitence, retranchons au moins les délicatesses.

PRIÈRE. — Seigneur, donnez-nous votre amour, et il nous donnera la force d’être pénitents.

A.I.

mardi 29 octobre 2013 ORDO LITURGIQUE de la Férie


ORDO LITURGIQUE
( Cet Ordo se base sur le Code des Rubriques promulgué le 25 juillet 1960. )
Année :  2013.
Mois : octobre
Semaine entre le Vingt-troisième Dimanche après la Pentecôte, Fête du Christ-Roi,
et le Vingt-quatrième Dimanche après la Pentecôte ( quatrième après l’Épiphanie.
Jour: mardi 29 octobre 2013.
Fête:  de la férie.
Couleur: vert.
Classe: 4ème classe.
Épître:  Ph III 17-21 | Ph IV 1-3.
Évangile: Mt IX 18-26.
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Le Calendrier du Sanctoral  du  M.Q.E.V. imprimatur 1961 indique au 29 octobre: Férie
Le sigle • indique qu’on peut dire toute messe des mystères divins ou des saints, nommés au calendrier ou au martyrologe, toute messe votive et ( sauf le Samedi et de Noël au 13 janvier ) toute Messe de Requiem quotidienne de 4ème classe.
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Voir aussi M.R.C.E.R. imprimatur 1943 au 22-10-2013. 'CALENDRIER LITURGIQUE - OCTOBRE - . Réponse Ces Armoiries sont de quel Pape ?'