Tuesday 3 December 2013

Y. 3.12.2013 -SUBVERSION OU TRADITION par l'abbé Yves le Roux -FSSPX- le mot de Yannick 3.12.2013.

Voici un beau texte d'un prêtre traditionaliste:


Par Monsieur l'abbé Yves le Roux,
Recteur du séminaire de Winona (USA)
Novembre 2013

Version française
Chers amis et bienfaiteurs,
L'homme boitait bas, un rictus inquiétant et quasi permanent fendait son visage. Redouté de tous, méprisé par beaucoup, courbé par l'âge et ses circonvolutions morales, s'avançait Talleyrand. Monseigneur de Talleyrand pour être juste, car ce triste sire, maître es-subversion, était évêque; bien qu'il affectionnât, de la révolution française à la restauration, de hanter plus les couloirs du pouvoir que monter les marches du sanctuaire.
De cette époque, la subversion s'est infiltrée partout et les maîtres de la révolution ont fourbi leurs armes : la subversion ne relève plus du seul fait de quelques hommes au génie dévoyé mais constitue l’essentiel de l'air que nous respirons. Elle imprègne les rouages de la société, s'est introduite dans les familles et s'est infiltrée jusque sur les marches du sanctuaire : la subversion est l'arme de guerre de la révolution. A la fin des années soixante, de Paris à Woodstock, elle s’est exprimée avec violence dans le scandaleux et satanique slogan Ni Dieu ni maître : rien d’autre que la haine d'un ordre dans lequel l'homme n'est pas son seul maître.
Aussi, la révolution institutionnalise-t-elle la haine de l'autorité qui se présente en réalité comme le dernier rempart qu'il faut abattre à tout prix pour établir le chaos révolutionnaire. L'autorité est, en effet, nécessaire au plein épanouissement de l'homme qui resterait un avorton s'il n'avait cette puissance tutélaire qui veille et lui permet d'atteindre la plénitude de son âge : il faut donc l'abattre. Par ses instigations multiples, ses attaques pernicieuses, ses coups de butoirs répétés qui suscitent la suspicion, la subversion va s'y employer, profitant de notre propension naturelle à ne pas vouloir nous soumettre. Peu à peu, l'autorité prend ainsi les traits de l’ennemi qui nous veut du mal ou, du moins, nous conduit à notre perte.
Plus qu'une technique révolutionnaire qui ne représenterait finalement qu'une étape d'un mouvement plus vaste, la subversion est non seulement l'arme qui établit la révolution mais son âme réelle, son essence propre. Cœur de la révolution, elle est d’abord un refus de filiation. En effet, emboîtant le pas de Satan, le subversif rejette la paternité divine et toutes celles qui en découlent. Ni Dieu, ni maître trouve ici son apogée. On remarquera aussi, distillant ce poison, poison elle-même, que la subversion entraîne dans sa perte celle de la révolution et de ses adeptes : machine infernale, moderne Moloch, elle se nourrit du sang de ses enfants.
La subversion est donc parfaitement antinomique à toute forme de tradition qui est essentiellement une adoration de Dieu le Père. Cette dernière reconnaît en effet que Dieu est et qu'Il Lui est essentiel de se révéler par des canaux paternels. L'autorité est, dès lors, reconnue et respectée comme cette paternité divine qui atteint l'homme, le conduit et le protège. Accidentellement lorsque l'autorité en charge n'est plus fidèle à son rôle de gardien du bien commun, il revient aux défenseurs de la tradition de lui rappeler son rôle et de le faire publiquement ; respectant ainsi la nature même de l'autorité. Mais cette remontrance publique, loin d'être une opposition viscérale à l'autorité, est un service qui lui est rendu. L'opposition n'est qu'apparente, due à des circonstances dramatiques lorsque ceux qui ont reçu en dépôt l'autorité sont eux-mêmes imbus des principes révolutionnaires.
Entre subversion et tradition l'opposition demeure totale et la tradition disparaîtrait si elle venait à accepter le principe de subversion et à devenir suspicieuse de toute forme d'autorité.
Or depuis quelques mois désormais, cette tentation subtile de défiance de l'autorité s'est introduite dans les rangs des défenseurs de la tradition de l'Église.
Bernées par la force de suspicions répétées et amplifiées par la chambre d'écho Internet, prises par la peur irraisonnée d'une prétendue trahison sans existence réelle, jamais prouvée ni démontrée, certaines personnes de bonne volonté font objectivement et tristement le jeu du démon. Leurs attaques diffamantes, qui ne sont péremptoires et solennelles que parce qu'elles ont pour but d'impressionner et de cacher leur inanité, tiennent le rôle peu glorieux d'agents de la subversion en distillant une méfiance contre l'autorité en charge de la tradition. Il est grand temps de cesser cette guerre intestine suicidaire à l'heure même où nous assistons à une nouvelle attaque en règle des derniers vestiges de la tradition au sein de la sainte Église.
Combattre pour l'honneur de Dieu et de sa Paternité devrait nous protéger de sombrer dans la tentation d'épouser les principes qui minent cet honneur et cette paternité.
La liturgie au temps de l'avent nous invite à suivre Notre Dame et saint Joseph sur le chemin qui mène à la crèche. Ce chemin est celui de la dépendance tranquille, de la simplicité rayonnante, de la filiation honnête et de l'humble soumission à la volonté de Dieu.
Ce chemin est un chemin de conversion, bien loin de toute voie subversive.
Empruntons-le hardiment !
In Christo sacerdote et Maria.
Abbé le Roux +
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Le mot de Yannick -3 décembre 2013-
Cher Père, je crois que Paul VI vit toujours, c'est lui mon pape et pas François qui pour moi n'est pas pape mais, comme je l'explique tout au long de mon blogue, le produit de la subversion. Je croix qu'en 2017, un petit peu avant le Grand Miracle prédit à Garabandal, vous aurez la lumière totale sur la survie miraculeuse de Paul VI, de qui certains subversifs infiltrés chez vous, sachant toute la vérité, font tout pour vous détourner. Cependant, selon le prophète Joël, les jeunes personnes auront des visions, les vieillards des songes: ne me dites pas que vous qui êtes prêtre du Très Haut, vous n'avez rien reçu sur la survie de Paul VI. Et si vous avez reçu et que vous étouffez la vérité du Saint Esprit, vous mettez votre âme en grand danger. Je vous dis cela parce que un jour j'ai appris du ciel que mon héros, Mgr Lefebvre, était en enfer. C'est bien qu'à un moment donné quelque chose n'allait pas. Mgr Lefebvre, malgré deux personnes de bords différents le prévenant que Paul VI, loin d'être un mauvais pape, était victime de son entourage puis remplacé par un sosie, n'a pas mis en oeuvre les moyens de savoir la vérité, IL A DIT UN SIMPLE: ÇA! JE N'Y CROIS PAS! Pourtant les envoyés du Ciel n'étaient pas n'importe qui, Bonaventur Meyer et le Chevalier Joseph. Prières, pénitences, étude du problème -il s'agissait d'un pape- voilà quelle aurait dû être l'humble attitude de Mgr Lefebvre. Au lieu de cela, il a donné à entendre au monde qu'on pouvait désobéir à un pape et être dans le droit chemin. De plus, DIEU a dit qu'il donnerait l'esprit prophétique à de simples servantes et qu'il nous enverra des prophètes. Un évêque a tout pouvoir pour discerner le vrai prophète du faux. Si Mgr Lefebvre a repoussé les vrais prophètes de DIEU c'est qu'il les a pris pour des faux. Malheur a qui dit bien ce qui est mal et mal ce qui est bien, dit la Bible. Et Jésus, quand on l'accusait d'être animé par un mauvais esprit, a dit: ce péché ne sera pas remis. Trois ont témoigné au prix fort de la supercherie au Vatican: Veronica Lueken, Ancilla de Bruxelles et Marie-Bernard. Trop facile de les repousser par parti pris, ce n'est pas une attitude chrétienne. Ce qui voulait dire que Paul VI était innocent des crimes contre la foi que les traditionalistes lui imputait; c'aurait été à raison s'il avait s'agit de lui. Mais le sosie était le produit de la subversion. Saint Paul interdit que l'on parle mal du chef du peuple de DIEU, le pape. Paul VI est pape. Le sosie n'est pas pape. Paul VI est pape, Jean Paul I n'est pas pape, IL EST LE PRODUIT MATHÉMATIQUE DE 111 ÉVÊQUES de la subversion nommés par le sosie sous l'instigation de Villot-Casaroli-Benelli. Paul VI est Pape, Jean Paul II n'est pas pape. Paul VI est pape. Benoit XVI n'est pas pape. Paul VI est pape, François n'est pas pape. Et vous vous reconnaissez comme papes trois crapauds successifs n'ayant proféré que des horreurs depuis Jean Paul II inclus. Pour qui prenez vous DIEU, qui se tromperait trois fois de suite sur Pierre ? La justice, c'est de rendre à chacun ce qui lui est dû: à PAUL VI ce qui est à Paul VI, à son sosie ce qui est à son sosie. D'autres part, depuis le pape Anaclet, le Saint Esprit interdit le sacre d'un évêque par un autre évêque. Il en faut trois. Ce n'est pas mon petit goût personnel qui compte ici. Ce qui compte, c'est ce que DIEU veut. Monseigneur Lefebvre est passé outre. Rendez-vous au jugement dernier. La Subversion n'a qu'un but, en finir avec vous. Moi, je n'aurais qu'une joie, c'est que vous entriez dans la vérité totale et qu'enfin notre Pape soit visiblement à notre tête. 
Yannick

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